ressources Georges Appaix spectacle Univers Light Oblique

Univers Light Oblique

2013 - printemps-été

Création les 9 et 10 juillet | Ballet National de Marseille | dans le cadre du festival de Marseille | mardi 9, rencontre avec Georges Appaix à l’issue de la représentation

coproduction Compagnie La Liseuse | Marseille Provence 2013, capitale européenne de la culture | Festival de Marseille_danse et arts multiples | marseille objectif DansE | Théâtre Pôle Sud à Strasbourg
avec l’aide de l’ADAMI
avec le soutien de la Friche la Belle de Mai

chorégraphie et mise en scène Georges Appaix avec Georges Appaix, Séverine Bauvais, François Bouteau, Sylvain Cassou, Pascale Cherblanc, Sonia Darbois lumières Pierre Jacot-Descombes images Renaud Vercey régie générale Xavier Longo son Olivier Renouf régie son Eric Petit stagiaire scénographie Perrine Delorme musiques, extraits musicaux Tony Williams | Boris Vian | Serge Gainsbourg | Jean Constantin | Leo Ferré | Alain Souchon | The mothers of Invention | Lou Reed | Lucio Battisti | Adriano Celentano l Otis Redding | Ludwig van Beethoven voix/textes Gilles Deleuze, « l’abécédire » | Ghérasim Luca, « Quart d’heure de culture métaphysique » |
Heinz Wisman / Marguerite Duras, « Ecrire »
administration Denise Le Guidec stagiaire communication Manon Goffinet
 

« C’est un projet sur l’écriture et sur les écritures
 
Écriture au sens large, d’une part, incluant la notion d’écriture de la danse, ou comment des sensations, des idées, des intuitions peuvent être traduites dans une forme lisible par tous, visible en tous cas par tous.
Les écritures, c’est-à-dire la matérialisation du langage sur un support, les alphabets, les typographies, les calligraphies.
 
Il s’agit de confronter le corps en mouvement et la présence scénique des danseurs à ces deux notions, tout en voyageant dans un univers visuel d’écritures, depuis les origines de celles-ci, environ 600 ans avant notre ère quelque part entre Tigre et Euphrate, jusqu’à des formes contemporaines, sous forme de projections d’images.
 
Six danseurs baignant dans l’écriture comme on dirait dans l’air ou l’eau, la respirant ou y nageant et sans doute aussi jouant avec elle comme on dirait jouer avec les mots ! »